Après l'effort, le réconfort !

30/01/2013 23:38

 

Après deux semaines passées au même endroit, on peut dire qu'on a vraiment envie de changer d'air. Nous avons décidé de faire notre entrée aux Grenandines à Union. C'est à cet endroit que nous avons retrouvé beaucoup de bateaux copains. Les après-midi plage retournent à l'ordre du jour avec cette mer des Caraïbes si turquoise et transparente.

Dès le lendemain, nous partons pour les Tobago Cays. Cet endroit est tout simplement sublimissime : cinq minuscules îles entourées d'une barrière de corail à couper le souffle. Les tortues, les raies, les poissons,...c'est le paradis. Un endroit accessible uniquemlent par bateau et on y retrouve encore d'autres amis. La ''bande'' est presque au complet et c'est avec tous ces amis que nous partageons des soirées langoustes, des snorkelling, de la planche à voile, des apéros...

Bien évidemment, tous les bons moments ont une fin ! Après quatre jours aux Tobago Cays, nous voguons vers Mayreau. Ici, le mouillage est minuscule mais la plage est géniale. Tout près, un eforêt de cocotiers et de palmiers nous montre ses merveilles. Les papas se remettent au kite et au bout de deux jours cassent leur voile. De vrais pros, lol ! Un homme anglais vient nous interpeler et nous coupe les noix de coco. Avec une copine, nous discutons avec lui pendant qu'il nous prépare de succulents goûters.

Les parents de JAD et de Varatraza se sont arrangés avec nos parents pour continuer la route ensemble. Un vrai bonheur car mes copines sont sur ces bateaux. Nous décidons d'aller sur Grenade et Carriacou, mais avant, il nous faut faire une sortie des Grenadines à Union. Sur le chemin de Carriacou, nous faisons escale sur une île typique (Morpion). En effet, c'est un îlot de sable entre deux îles qui possède sa propre barrière de corail et un petit parasol !

Un bateau rencontré à Mayreau nous invite à manger une tartiflette chez eux. Plutôt mythique de manger un plat de ski sous les tropiques.

Le chemin continuera sur Carriacou...

Que découvrirons-nous encore ?

Je vous embrasse,

Jeanne, la touriste